Les Contes d’Hoffmann : Acte IV. Air et duo « Qui connaît donc la souffrance » … « Hoffmann, vite, partons d’ici ! » … « Ô Dieu, de quelle ivresse embrasses‐tu mon âme » (Giulietta, Chorus, Hoffmann, Nicklausse) by
Orchestre Symphonique de la Monnaie
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Sylvain Cambreling